À l’heure des nouvelles technologies de l’information, de la mondialisation marchande et des nouvelles revendications identitaires partout sur la planète, la question migratoire ne peut plus se penser avec les catégories du XXe siècle, analyse le fondateur de l’Université de tous les savoirs, qui plaide pour une redéfinition des termes de la citoyenneté et de la naturalisation des étrangers.