Cette citation de la langue française se voulant décrire l’impuissance devant l’adversité, n’est pas seulement transposable à la Vénus de Milo de l’antiquité après son élimination d’un concours de beauté, ou à la nouvelle éviction du PSG en ligue des champions, mais bien à l’indéfectible onde de « tchoc » se propageant encore chez qui a encore un peu d’esprit, depuis les bancs de l’hémicycle de l’Assemblée nationale, jusqu’à ce qui reste de profondeur aux défectibles sillons de notre identitaire dignité nationale.

Les bras m’en tombent, oui, consécutivement au double bras de déshonneur claqué par notre très contesté ministre de l’« ajustice » à l’endroit d’un député. Un élu du peuple, un indigné, ayant eu, en exprimant selon ce que prévoit sa mandature, l’outrecuidance d’évoquer l’incompatibilité entre l’assourdissant retentissement des affaires affectant un ministre mis en examen, avec sa docte manière de marteler l’indiscutable bon sens des recettes qu’il préconise, mais n’applique pas.

Au tintamarresque résonnement des casseroles que traîne notre régalien gardien de l’équité s’ajoute le vacarmineux rebond des bidons qu’il traîne, sans oublier l’écho des heurts métalliques des seaux, vides ou pleins, dont il a la garde. Non content d’assourdir le débat public par une telle excessive et préoccupante couverture décibélométrique, voilà que notre prévenu, sans crier gare, ajoute à la cacophonie ambiante les deux retentissants « tchoc » ou bruits, « en même temps » secs et feutrés, émanant du vif contact entre sa ferme main nue s’abattant sur le tissu de la manche du costard « Armagoboss » couvrant la pliure de son bras opposé.

SI ce double « tchoc » s’avère en toutes circonstances significatif d’une invite à envoyer son locuteur se faire aimer par la ou les personnes, dans la ou les postures qui lui siéront, par le biais de l’orifice ou même de l’« orifille » de son choix, restons toutefois prudents sur la destination de ces...