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La Nativité sans visage, et l’Église qui dit Amen

CONTRIBUTION / OPINION. Des santons sans visage à Bruxelles, une crèche et une messe de Noël annulées dans un village de l’Oise… Quand l’Église verse dans le renoncement, non par pression laïcarde ou communautaire, mais par autocensure ecclésiale.

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Crédits illustration : ©NICOLAS MAETERLINCK/BELGA/SIPA


Cela aurait pu être une crèche transgenre avec un Joseph enceint, une Marie à barbe ou un chiot remplaçant l’Enfant Jésus… le monde merveilleux de l’antispécisme en est capable. Mais ce qui a été choisi est plus grave : une crèche sans visage.

Sur la Grand-Place de Bruxelles, au sein du marché de Noël désormais rebaptisé Plaisirs d’hiver, Inclusivité oblige ! se dresse une tente blanche, plus proche d’un campement de bédouins que d’une étable. À l’intérieur, Marie, Joseph, les Rois Mages...

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