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Être ou ne plus être ( Partie 1 )

OPINION. Suite aux récentes tragédies qui ont endeuillé notre pays, Caroline Galactéros souhaite démêler et mettre au clair les questions de laïcité, d’islamisme et de terrorisme. Du diagnostic à l’action thérapeutique, voici le premier volet de sa réflexion. Le débat est lancé.

/2020/11/Être ou ne plus être ( Partie 1 ) - Galacteros

Tout allait presque pour le mieux dans le meilleur des mondes. Considérant les circonstances naturellement ! L’énergie comme les ressources de l’Etat et du gouvernement étaient presque entièrement dédiées au combat contre le virus du siècle. Cette martiale mobilisation qui ressemble aussi à une démobilisation sociale orchestrée, chloroformait notre population entretenue dans une psychose et une infantilisation croissantes et la biberonnait aux aides d’urgence qui durent…Pour la faire bientôt gentiment voter pour les « sauveurs » l’ayant ainsi préservée d’un déclassement social vertigineux. En lui cachant naturellement le désastre de notre économie désormais plus massivement administrée que jamais, droguée de façon irrattrapable à la dépense publique (65%) et à la dette, sans véritable capacité de rebond car idéologiquement bornée par son refus d’un libéralisme franc seul à même de libérer les énergies et de la sauver de ce suicide assisté. Les Français vivent toujours au pays des rêves bleus de Oui-Oui et ne veulent rien savoir du reste de la planète souffrante, laborieuse et violente.

Et voilà qu’on vient bousculer ce bel édifice des priorités gouvernementales et réveiller les Français de leur torpeur : l’ennemi véritable, au long cours et sans pitié, n’est évidemment pas le Corona, mais la gangrène islamiste que l’on a accueillie sur notre sol au nom des Droits de l’Homme et même élevée au bon lait de la France généreuse et universaliste. Une gangrène que l’on a financée via les « associations » et laissé pénétrer nos quartiers, nos villes, nos banlieues et désormais nos campagnes au gré de la périurbanisation galopante qui défigure nos paysages. Ce virus-là, on l’a vu venir depuis très longtemps mais on le traitait par le mépris. On prêtait même à ses relais associatifs des vertus curatives pour des populations en rupture de ban avec la société française. Il a donc prospéré dans les cœurs et les...

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