PoliceSécurité

L’État doit protéger ses policiers et ses gendarmes

OPINION. Sans pour autant créer de situation d’impunité pour les fonctionnaires réellement fautifs, l’augmentation des agressions dont font l’objet les forces de l’ordre appelle à ce que l’État retrouve le monopole de la violence légitime.

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Sevran, en Seine-Saint-Denis, le 26 mars. Saint-Florentin dans l’Yonne, le 30 mars. Pierre-Châtel dans l’Isère, le 2 avril. Autant de lieux et de dates, où des policiers et des gendarmes ont été amenés à faire usage de leur arme de service, avec les conséquences que l’on sait, dans le cadre de leurs missions de sécurité publique.

Par le passé, infiniment nombreux étaient les membres des forces de l’ordre qui traversaient leur carrière sans jamais avoir eu l’occasion de se servir de leurs armes en dehors des stands de tir. Et même dans le milieu du grand banditisme, à part quelques...

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