Nous sommes en guerre… une guerre, jusqu’alors si justement qualifiée « à bas bruit », comme le dit Michel Onfray. Une guerre si proche, si laide, une guerre si moche, si vile, qu’elle ne voulait pas dire son vrai nom, même quand on ne faisait que l’évoquer. Ou alors, on ne la nommait pas, de peur d’être qualifié d’intolérant, de va-t-en-guerre, de raciste ou de fasciste, cette épithète passe !

Une guerre qui vient de s’identifier par l’écho « croissant » des cris de guerre des manifestants pro-palestiniens, de ceux vivant parmi nous : ceux qui nous l’ont déclarée, qui l’ont provoquée ou qui la justifie en soutenant ses instigateurs fréristes, ces imams prosélytes, ces muezzines racoleurs et leurs clivants atours communautaires, ces soldats djihadistes, fanatiques barbares et assassins. Ceux qui ont entrepris de déliter ce qui nous lie, nous, Français, ce qui nous attache et nous rattache : famille, racines, coutumes, culture, civilisation et identité millénaires… Une France fière de son futur comme de son passé.

Avant d’être totalement arraisonnée par le nombre, pour avoir trop souvent et trop longtemps raisonné, si elle veut encore « faire nation » en ces temps de grands chambardements où prédomine l’immédiateté d’adaptation, notre France se trouve désormais condamnée à faire bruyamment résonner sa ferme volonté d’agir et non plus de réagir. Alors, plus de ces pusillanimes « très fermes condamnations » indignées de nos politiques manchots face à la récurrence de l’horreur ! Appliquons déjà à la lettre les lois adéquates qui existent, sans plus les abandonner, au pied de certains murs, à l’interprétation de l’esprit par trop « droitdelhommiste » de certains juges.

Notre France devrait rebondir sur les froides statistiques des derniers sondages antimigratoires et leur évident lien avec délinquance et terrorisme, de façon aussi, à annihiler toute progression de l’idéologie diversitaire et enfin consacrer le non fondé du vivre ensemble. De silencieuses...