Tour de France

Tour de France : nos étoiles de juillet

OPINION. Le Tour de France part de Brest ce samedi 26 juin. L’occasion pour notre abonné de clamer son affection pour cet évènement qui réunit rêve d’enfant, patrimoine français et goût de l’effort. Et que la poignée d’écologistes radicaux qui s’y oppose ne saurait gâcher.

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Le Tour de France, un immense et merveilleux rêve d’enfant… partagé par de nombreuses petites têtes dans les nuages, plusieurs générations confondues, que certains voudraient nous enlever, comme ils veulent nous empêcher de voler, dans la lune ou dans les airs, car les avions comme le vélo et tout le cirque qui l’accompagne polluent outre mesure. Mais, pour qui se prennent-ils ces misérables de la pensée, de l’idéologie toute faite, tant et si bien qu’elle flirte avec l’idiotie ? Déjà, ils nous enlèvent notre sapin, et maintenant ils en ont après nos « Pères Noël de juillet », comme l’écrivait avec poésie Jean-Paul Ollivier.

Moi, j’y tiens à cette fête de la petite reine qui s’élance partout en France pour nous conter ses multiples beautés, paysages grandioses ou petits trésors cachés. Déjà pour ce qu’elle représente de notre pays, vitrine offerte au monde entier, qui explore chaque année nos belles régions littorales, montagneuses et nos campagnes aux multiples couleurs. Cette diversité des paysages, si bien décrite dans les vieux livres de géographie, ces beautés naturelles enviées par de nombreux touristes qui viennent les admirer, souvent après les avoir découvertes grâce au Tour de France justement, toutes ces images qui scintillent sur le petit écran chaque jour durant trois magnifiques semaines, il nous faut les savourer et les saluer pour ce qu’elles sont, tout simplement une part de notre identité française et un splendide tour de la France.

Je les ai parcourues à mon rythme ces belles régions aux paysages variés, sacoches sur les porte-bagages et au guidon, pour les admirer et me retrouver souverainement de moi à moi. Ces heures de vélo qui m’ont autant forgé l’esprit que les mollets, comment les oublier, les considérer comme superflues, alors qu’elles ont été essentielles dans mon devenir d’homme. L’amour de l’effort, du dépassement de soi-même,...