SouverainetéZemmourFPContenu payant

Dans son dernier livre, Eric Zemmour dénonce les élites anti-françaises

ARTICLE. Jeudi 9 septembre, les « bonnes feuilles » du livre d’Éric Zemmour — La France n’a pas dit son dernier mot — ont été publiées dans la presse. Le journaliste politique y dénonce notamment La France soumise et la complaisance de bon nombre de ses cadres avec les lois de l’Islam, sous l’œil bienveillant des élites mondialistes.

/2021/09/zemmour france candidat presidentielle 2022 civilisation

Candidat ou pas candidat ? Et sur quelle ligne ? Alors que cette question lancinante est sur toutes les lèvres ces dernières semaines, Éric Zemmour s’apprête à franchir une nouvelle étape le 16 septembre. Son livre La France n’a pas dit son dernier mot donnera le "la" de son programme, si d’aventure, le polémiste venait à se lancer dans la course à la présidence de la République. Le Figaro en a publié quelques extraits ce jeudi 9 septembre. Il y est question d’islam, d’immigration, du personnel politique français et même de Donald Trump.

Ceux qui le suivent sur CNews, Paris Première et le Figaro, et ceux qui ont lu ces précédents ouvrages ne seront guère étonnés : pour Éric Zemmour, l’immigration est le problème numéor un en France. Reprenant le concept de Renaud Camus de « grand remplacement », il évoque la situation particulière de la Seine-Saint-Denis. Le journaliste rappelle qu’on « recense aujourd’hui dans ce département que deux tiers des naissances viennent d’au moins un parent né à l’étranger » et que « dans la liste des dix prénoms les plus donnés aux enfants, tous sont musulmans (Mohamed) ou affiliés (Ryan, Inès) ». Le 93 serait le symbole de ces « enclaves étrangères » qui « vivent sous le règne d’Allah et des caïds de la drogue qui assurent l’ordre et la vie de tous les jours ».

Emmanuel Macron, un « Hollande en mieux vêtu »

L’islam occupe ainsi un rôle central dans l’analyse zemmourienne. « Cette colonisation religieuse entraîne une colonisation visuelle qui entraîne une colonisation des âmes », écrit le polémiste, selon qui ce phénomène explique la disparition des « petits commerces traditionnels des villages français » pour laisser place « aux grandes surfaces à l’extérieur des villes, et aux commerces estampillés hallal (boucheries, mais aussi librairies ou encore kebabs) ». Des espaces...

Vous aimerez aussi