Les leçons à tirer de la victoire des droites italiennes
OPINION. La victoire de la coalition de droite aux élections italiennes montre que Giorgia Meloni a réussi ce qu’Éric Zemmour n’a pas su faire. Et ce pour diverses raisons.
Nous ne parlerons pas ici des leçons que pourraient tirer les médias mainstream de cette élection puisqu’ils ont, une nouvelle fois, fait preuve de leur indécrottable sottise en rejouant l’horrifique scène du « retour du fascisme ». Cris d’orfraie qu’ils avaient déjà poussés en 2018 quand La Lega de Matteo Salvini était parvenue au pouvoir aux côtés du Mouvement 5 étoiles ainsi qu’en mille et une autres lassantes occasions. Hurlements pavloviens qui les dispensent d’affronter les réalités du temps présent qui ne sont plus du tout celles des années mussoliniennes, à savoir le problème de l’immigration massive d’origine non européenne et l’entreprise en cours de destruction radicale des mœurs, des idéaux et des paysages européens.
Ne pas perdre trop de son temps avec l’idiocratie
Nous sommes gouvernés par une nouvelle idiocratie façonnée depuis plus de quarante ans dans nos universités et biberonnée aux produits de la culture de masse gaucho-libérale américaine, qui s’est répandue dans les institutions de direction et d’encadrement de la société. Ne pouvant se confronter à la situation présente, de plus en plus inculte, bornée et trop sûre de sa belle âme, cette idiocratie ne verra rien de ce qui se passe vraiment et continuera indéfiniment, tant qu’elle sera aux pouvoirs, de battre l’estrade de son mauvais théâtre antifasciste, de hurler contre les ombres de ses fantasmes et de s’enfoncer dans sa bêtise.
Laissons-la donc japper et observons plutôt la caravane des droites qui passe au-delà des Alpes après avoir fait étape récente en Suède, pour en tirer des observations qui pourraient être pertinentes pour les souverainistes, patriotes et autres français et européens non intimidés par les aboiements de ces idiots inutiles, mais cependant bien placés, afin d’en tirer quelques leçons propices non pas à un « rappel à l’ordre » (cet ordre moral prêché par Daniel Lindenberg et surveillé par...