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Commission anti-complotisme : les Lumières à l’ère du mépris macronien

OPINION. Les lumières à l’ère du numérique : le nom de la fameuse commission anti-complotisme lancée par l’exécutif a interpellé notre lecteur. Pour lui, cette dernière est en réalité un écran de fumée qui cache un autre obscurantisme, celui des mondialistes.

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Tout était dit, Emmanuel Macron se lançait progressivement dans le mépris des Français et de la France. « Gaulois réfractaires » ; « gens qui ne sont rien » ; « il n’y a pas de culture française » ; la qualification de la colonisation de l’Algérie comme crime contre l’humanité ; la fumeuse théorie du ruissellement sur les pauvres de l’argent des riches, le mépris des Gilets jaunes qualifiés de racistes, d’homophobes, de violents, etc.

Une dictature soft a été lentement instillée en France, pays sous surveillance policière permanente. Après le port du masque obligatoire, le pass sanitaire, voici la dernière : la fameuse commission contre le complotisme, sobrement intitulée Les lumières à l’ère numérique, qui prépare les juges à condamner un quidam qui ne correspond pas à la pensée mondialiste et progressiste au pouvoir. Le peuple français a déjà été insulté, éborgné, amputé, condamné en comparution immédiate et complètement passé sous silence dans les médias et insulté par les politiciens et journalistes hors sol qui criminalisent le peuple souverain, la Nation et les Français.

Cette commission intervient après un travail de destruction de la culture française où l’école a été vidée de ses missions essentielles, à savoir écrire, lire, compter. Une école où la culture woke s’introduit de plus en plus, une Éducation nationale assiégée par l’écriture inclusive — soutenue par le pouvoir ou en tout cas faussement interdite —, le problème du genre, etc. C’est pourtant grâce aux savoirs fondamentaux que les élèves et futurs citoyens peuvent acquérir l’esprit critique qui leur permettra d’échapper au complotisme faussement combattu par le pouvoir.

Au lieu de cela, l’école est devenue un lieu de garderie écrasé par les idéologies en place et dans lequel la culture française et européenne ne peuvent plus être enseignées. Le président ne parle que de souveraineté européenne, ce qui est un...

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