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Coronavirus : Encore des questions

Nous vivons encore en ce mois d’août sous l’empire de ce coronavirus qui avait abordé nos rives en mars dernier et continue de faire la une de l’actualité. On aurait pu penser que la phase de déconfinement nous amènerait tout naturellement vers une sortie de crise. Or c’est un tout autre autre scénario qui se déroule sous nos yeux.

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Nous vivons encore en ce mois d’août sous l’empire de ce coronavirus qui avait abordé nos rives en mars dernier et continue de faire la une de l’actualité. On aurait pu penser que la phase de déconfinement nous amènerait tout naturellement vers une sortie de crise.

Or c’est un autre scénario qui se déroule sous nos yeux dont on peut lister sans peine les aspects les plus parlants.

Des appels à la prudence n’ont cessé d’être lancés au prétexte que l’épidémie est loin d’être terminée  et qu’une seconde vague est toujours à craindre.

Une campagne de tests à tout va a été entreprise pour dépister les sujets contaminés et dessiner ainsi la cartographie d’une épidémie souterraine prête à s’embraser de nouveau.

Dans le sillage d’une pensée aux abois, le port de masques dans les lieux clos a été imposé et des sanctions prévues en cas de non-respect. Les règles de distanciation physique continuent d’être prônées comme gestes-barrière déterminants.

Relayant celui des morts, le comptage des contaminés détectés fait la une des médias, participant à l’entretien d’un vécu de crise persistante. La survivance d’ilots épidémiques dans les pays voisins est complaisamment rapportée pour corroborer sans le dire la thèse d’une épidémie prête à ressurgir.

Les jeunes sont montrés du doigt comme de dangereux vecteurs de l’infection, laquelle, très souvent inapparente chez eux, n’en est que plus redoutable.

Une peur sournoise a été instillée dans les esprits, visible dans l’espace public où nombre de comportements en témoigne. S’embrasser entre proches est teintée désormais de mauvaise conscience assumée.

Force est de constater que nous ne sommes pas seuls à nous sentir en guerre permanente contre le virus. D’autre pays, en Europe ou ailleurs, sont dans le même état d’esprit.

Alors que faut-il en penser ? On ne peut s’empêcher de constater que l’attitude alarmiste...

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