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De la violence policière à la violence ordinaire
OPINION. Miroir d’une époque, de ses dérives et de ses maux, les violences policières se suivent et ne se ressemblent pas. Si, au mois de mai 1968, elles ont montré les failles d’un régime à bout de souffle, elles trahissent aujourd’hui, selon notre lecteur, la corruption de l’appareil d’État et la mise à mort de l'État de droit.