/2018/01/Sans titre (1)_6

Thomas POUILLE

Cuisinier

Thomas POUILLE est ingénieur agricole de formation initiale (ENITA de Clermont-Ferrand). en 2014, après une quinzaine d'années d'exercice principalement en Chambre d'Agriculture, Il a opéré une reconversion professionnelle et est actuellement cuisinier. C'est en reprenant un jardin que il s'est penché sur les évolutions agronomiques depuis qu'il a quitté le métier et découvert que les choses évoluent très vite.

Les contenus de cet auteur

/2021/06/BIO

Une critique amoureuse du bio

OPINION. Productivité, qualité des aliments, serres chauffées… L’agriculture biologique reçoit presque autant d’éloges que de griefs, avec plus ou moins de bonne foi. Notre abonné propose ici une critique nuancée du bio, afin de faire les meilleurs choix possibles pour l’avenir.

Thomas POUILLE

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opinionsPass sanitaire

/2021/05/pass-sanitaire_1

Pass sanitaire : l’impôt privé

OPINION. Au vu du vif débat provoqué par la mise en place d’un pass sanitaire, notre abonné a tenu a apporter son point de vue. Sans remettre en cause l’intérêt des vaccins, l’auteur s’interroge ici sur les raisons qui conduisent à en généraliser l’usage dans le cadre du Covid-19.

Thomas POUILLE

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InternationalEcologie

/2021/03/crop-1149914_1280

COP 21 : l’initiative française « 4 pour 1000 » manque d’ambition

OPINION. Mentionnée dans un précédent article, l’initiative « 4 pour 1000 », dont le but est de stocker le CO2 dans les sols agricoles, s’avère insuffisante. Mais pour notre abonné, l’agriculture de conservation pourrait nous permettre d’être plus ambitieux.

Thomas POUILLE

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sociétéAgriculture

/2021/01/Agriculture« 4 pour 1000 » ou comment neutraliser les émissions de CO2

« 4 pour 1000 » ou comment neutraliser les émissions de CO2

OPINION. Il ressort d’un calcul de bilan simple qu’une augmentation de 4 pour 1000 par an du taux de matière organique dans les sols agricoles de la planète permettrait d’absorber toutes les émissions de CO2, voire même de rattraper une partie des émissions des 30 dernières années.

Thomas POUILLE

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