Emmanuel Macron

Macron et ses complices : l’anti-France ou la haine des Français

OPINION. Entre répression des manifestants, dénigrement du petit peuple, restriction des libertés et déni démocratique, les Français sortent essorés de ce premier mandat macronien.

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Le président ne débattra pas avec les autres candidats. Comme disent sans cesse les journalistes parisiens : « Il va enjamber la campagne… scandale démocratique… la France va exploser, les gilets jaunes puissance dix ! » Et alors, Macron a bien compris qu’il avait toutes les armes en main pour réprimer et faire obéir avec le soutien de ces mêmes journalistes qui ont « craché » sur le mouvement populaire et prolétarien des Gilets jaunes en les traitant de « violents, racistes ou homophobes, etc. », en faisant toujours la distinction entre le début du mouvement et l’après, et on se demande bien pourquoi ! S’ils étaient un peu honnêtes et faisaient leur travail de critiques, ils auraient vu que ces gens représentaient le peuple responsable et inquiet des dérives autocratiques d’une oligarchie méprisante et haineuse qui a sciemment utilisé la violence (et même orchestrée) pour souiller ce mouvement.

Le pouvoir a découvert la force de « la violence légitime » ou de la justice expéditive pour châtier ces gens qui en ont assez (et encore maintenant !) d’être dénigrés ! Faut-il rappeler les éborgnés, les mains arrachées, les comparutions immédiates et les emprisonnements d’office ? De plus, le passé sanitaire ajoute une corde à son arc répressif. Il peut ainsi tout faire avec la complicité des instances institutionnelles, aucun obstacle n’existe face à la machinerie infernale macronienne ! Et bis repetita avec le convoi de la liberté : répression, coups, menaces, arrestations, drapeaux jetés à terre, désinformation des journalistes et le tour joué en quelques jours ! Efficace !

Le président du Sénat a déclaré un risque d’illégitimité si Macron était réélu sans faire campagne. Et tous, là-bas, sur les plateaux confortables de télé de s’écrier : « Le deuxième personnage de la République a dit ça ! » Il peut dire ce qu’il veut, cela n’a aucune importance, puisque tous ont ce mépris du peuple et ne vivent qu’aux parfums...

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