cultureLittérature
Virginie Despentes, le contrepied permanent
OPINION. Adulée par la gauche germanopratine, conspuée par les milieux plus conservateurs, Virginie Despentes ne laisse personne indifférent.
1993. Quand la jeune Virginie Despentes, venue et façonnée par l’underground et le punk rock, publie Baise-moi, son premier roman, rien ne le prédestine à en faire un roman culte et l’un des marqueurs culturels d’une génération. Comme pour le Nevermind de Nirvana, un peu son pendant musical pour cette même période, il s’agit d’un succès par effraction allant à contresens de la tendance du moment qui aurait pu être un unique coup...
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