La période historique que nous connaissons est exceptionnelle dans l’histoire de l’humanité. Alors même qu’avait triomphé l’idéologie de la toute-puissance médicale (et scientifique) et que les théologiens de la santé avaient succédé aux théologiens des différentes églises, un virus inconnu, ou peu connu, issu d’une PMA en laboratoire, ou d’une dégénérescence familiale de la famille covidienne ravage la planète entière…médiatiquement et (déjà et bientôt plus encore) économiquement.

A défaut d’une guerre ordinaire, la davocratie a organisé ( ou s’en est saisie) une guerre épidémique qui conjugue les « avantages » ( pour Davos, Big Pharma etc) d’une guerre ordinaire, effondrement économique mettant fin à la saturation des marchés et ouvrant la voie à la reconstruction avec renforcement de l’exploitation, et d’une guerre psychologique c’est-à-dire conduisant à une modification du logos (la vision du monde) au travers du temps suspendu, de l’incertitude des futurs, du renforcement de l’artificialisation du réel (le tout-virtuel) etc… et conduisant à la « servitude volontaire ».

Le premier aspect, économique, ne pourra être mesuré que dans les mois à venir au travers du rythme et de l’intensité de l’effondrement économique et de l’allure des ruines sociales.

Le second aspect, sanitaire, nous commençons à pouvoir le cerner et allons en donner quelques éléments que nous développerons dans des articles ultérieurs.

Chacun peut en lisant Burdigala qui s’est fait l’écho des interventions des Professeurs Raoult, Delépine, Perronne etc… (sur Sud Radio, Lci , You-Tube etc) mesurer le caractère délirant, débilitant des notions de pandémie massive (0.05% de mortalité avérée) *de nature apocalyptique. La question de la vaccination prônée par les théologiens de Jehovah Covid est quant à elle mieux évoquée rationnellement par les experts authentiques cités plus haut et sa dangerosité analysée : vaccins engendrant des modifications géniques transmissibles aux enfants donc modifiant le génome de l’organisme ou vaccins agissant sur l’ARN donc...