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Kit de survie : entre infantilisation et soumission

CONTRIBUTION / OPINION. La gestion sanitaire nous avait déjà offert son lot de mesurettes infantilisantes. À l’aune du contexte international tendu, le gouvernement remet le couvert avec un « kit de survie ».

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Crédits illustration : ©info.gouv


Rappelle-toi, 2021, le Covid, la pandémie, le confinement, l’isolement, la peur… transmissible, contagieuse. Rappelle-toi ces mesures imposées, ces diktats si ridicules et si abscons apposés par des menteurs aujourd’hui avérés, au point de muter la France en une sous colonie de l’Absurdie… occidentale ?

Conditionnement


La peur, telle celle planante de la fin du monde de l’an 1000 instillée au moyen âge dans les esprits par ceux à qui cela profita, la peur, les peurs, furent le carburant de ce conditionnement. Les peurs, oui, dont celle d’être irrémédiablement contaminé, celle de l’être par un proche, la peur d’avoir peur, celle de ne pas paraître politiquement correct.

Toutes ces peurs avaient accompli leur silencieux travail de sape dans l’opinion, permettant à la méfiance de l’autre de s’installer chez chacun, à la distance entre tous de s’affirmer, selon un des objectifs finaux inavoués de nos « gouvernants » consistant à imposer un contrôle sanitaire et une perspective vaccinale, au détriment de toute dimension démocratique participative, de toute considération sanitaire régulée. Rappelle-toi, Jérôme Salomon, docteur comptable des morts du jour terrorisant l’audimat comme si la peste noire envahissait le plateau télé, alors que ce virus s’est avéré moins percutant qu’une simple grippe.

Asservissement


Rappelle-toi ce à quel degré de privation de libertés diverses nous en étions arrivés : le côté absurde des mesures imposées à la population, grâce à d’incessantes et infantilisantes campagnes hyper médiatisées, n’avait en fait avant tout servi qu’à renseigner le pouvoir sur notre degré d’acceptation. Nous, le peuple, par définition libertaire et frondeur, contestataire et guillotineur, nous sommes d’emblée prostrés derrière un silence passif et complice, connexe à celui le plus souvent gardé pour donner l’illusion d’adhérer à la pensée unique et au politiquement correct. Et cela dans un but précis… imposer un pass vaccinal, puis un vaccin dont les ravages, aux dires...

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