Crise sanitaire : vers un « humanicide ? »
OPINION. Cette pandémie, dont la gravité reste véritablement incertaine, a pour conséquence, avérée celle-ci, au-delà du risque mortifère, moins de 1% de décès, la destruction du tissu économique, du lien social, et des ressources culturelles.
Cette pandémie, dont la gravité reste véritablement incertaine, a pour conséquences, avérée celles-ci, au-delà du risque mortifère, moins de 1% de décès, la destruction du tissu économique, du lien social, des ressources culturelles et à terme de détruire l’humanité pour ces raisons psycho-sociales
L’OMS, devenue un organe de propagande, radicale, du zéro virus, a-t-elle oubliée, sa propre définition de l’état de santé : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »
Comment concilier bien-être physique sans mettre en perspective le bien-être social et psychique ?
Quel intérêt peut avoir une vie humaine dans une « désociété », inverse d’une société dont la définition est, le milieu humain dans lequel quelqu’un vit ? Aucun si ce n’est de prendre le risque de la régression et d’aboutir à l’humain sauvage, isolé, dans une dystopie.
Le rationnel de cette crise virale n’est pas suffisamment convaincant, et réjouissons-nous, pour imposer de telles mesures liberticides. Trente et un mille décès aujourd’hui ,c’est toujours trop, alors qu’on nous promettait malgré le confinement aux alentours de 100000 décès. Une quasi-disparition des décès par la grippe au lieu de 10000 à 15000 décès annuels malgré des campagnes de vaccination. Plus de 99% de guérison spontanée après contraction du virus, pas de surmortalité au 1er septembre en France par rapport à 2019, une augmentation des hospitalisations en service de réanimation mais avec un turn-over plus rapide et des patients qui restent moins longtemps et guérissent….
Le profit éventuel des bénéfices secondaires liés à cette «hérésie » planétaire restent obscurs, cependant les réflexions que nous ont permis ces bouleversements sociétaux sont riches d’enseignements.
L’autoritarisme sanitaire fait marcher dans le rang par l’intermédiaire d’une prise de conscience subite de notre propre finitude, qui finit par s’émousser après de longues années de...