Présidentielle, législatives… la commedia dell’arte
OPINION. Début 2022, le scénario semblait être joué d’avance. Mais les derniers scrutins électoraux ont démontré que la politique pouvait encore être source de surprises. Encore faut-il que celles-ci soient bonnes !
Depuis la disparition de Robert Lamoureux, de Goldoni, de Labiche et de Feydeau, mais aussi de Sophocle, Shakespeare, Molière, Racine et Corneille, Tchekhov, comme d’Edmond Rostand, on désespérait de retrouver le plaisir du théâtre, le vrai, celui qui fait rire ou pleurer, touche le fond des cœurs, parle du temps qui passe et des passions, des sentiments les plus contradictoires enfouis aux tréfonds de chacun, mais le Messie attendu depuis longtemps restait au ciel.
C’était sans compter sur le génie français, ou plutôt l’identité d’un peuple toujours insatisfait, en quête...