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COVID-19 : l’UE n’est pas le vaccin, mais la meilleure amie du virus !

OPINION. S’il existe un exemple flagrant de l’inutilité et de la nocivité de l’Union européenne, c’est bien la gestion de la crise du COVID-19. Si l’on analyse froidement et calmement cette dernière, on se rend compte que l’Union et son idéologie ont été un boulet tout le long.

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S’il existe un exemple flagrant de l’inutilité et de la nocivité de l’Union européenne, c’est bien la gestion de la crise du COVID-19. Cela va même plus loin outre-Manche, où il se dit avec raison que l’épisode des vaccins constitue la meilleure publicité possible pour le Brexit. On ne compte plus les tweets où des votants « remainer »(partisans du maintien dans l’UE) disent regretter leur vote et ne plus souhaiter rejoindre l’UE. Si l’on analyse froidement et calmement toute la gestion de la crise du COVID-19, on se rend compte que l’Union européenne et son idéologie ont été un boulet tout le long.

Le fiasco des vaccins

Le monde se rend compte du retard colossal de l’Union européenne en matière de vaccination par rapport à des pays comme Israël, les Émirats arabes unis, les États-Unis ou surtout le Royaume-Uni du Brexit.

C’est d’autant plus ironique pour le Royaume-Uni que la presse pro-UE expliquait en mars 2020 qu’à cause du Brexit, le Royaume-Uni aurait un accès plus lent au vaccin [1]. On a bien vu. Alors que le Royaume-Uni a vacciné plus de 13 % de ses concitoyens au 29 janvier 2021, l’UE n’en a encore même pas vacciné 3 %.

Cet écart va empirer, car l’UE arrive au bout de ses stocks et va entrer en pénurie. C’est d’ailleurs pour cela que des vaccinations sont repoussées en France et que s’accroît le nombre de centres vides [2]. C’est aussi pour cela qu’il était un temps question de repousser la durée entre l’injection des deux doses : aucune stratégie médicale derrière cela, mais bien une gestion de la pénurie.

La question est : comment en est-on arrivé là ? Le secrétaire d’État aux Affaires européennes, Clément Beaune (que j’appelle volontiers le secrétaire d’État à la Propagande de l’UE, tant il profère de contre-vérités...

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