Aube ou crépuscule ? Ce que cache la crise sanitaire
OPINION. À qui profite la crise ? Dans ce brûlot, notre abonné reprend tous les déboires de la gestion sanitaire et dénonce les acteurs ayant intérêt à tirer profit de cette crise, qui affecte particulièrement le monde occidental.
L’hiver n’en est qu’à son début et les nuages noirs s’amoncellent sur une France craintive, bâillonnée et recluse, qui semble ne plus s’appartenir et se trouve entre les mains d’une clique maléfique installée au pouvoir, dans une espèce d’illusion collective, par la grâce d’un coup d’État médiatico-judiciaire. Comme si l’émergence de multiples pustules totalitaires — je laisse à chacun le soin de les répertorier — ne suffisait pas à sérieusement porter atteinte à la sérénité du pays, il a fallu qu’une menace insidieuse vienne encore obscurcir notre vie quotidienne. Non, comme on pourrait le penser, en raison de sa nature même (un virus banal et peu létal), mais bien à cause de l’extraordinaire amplification de sa dangerosité, conceptualisée et mise en scène par une association de malfaiteurs réunissant le pouvoir politique, l’industrie pharmaceutique, les scientifiques de cour et les médias dominants !
Le questionnement sur l’origine du Sars-CoV-2 sera laissé de côté pour deux raisons : celle-ci demeure inconnue, même si de multiples hypothèses viennent ébranler l’explication naturelle — l’hypothèse médiane est celle de l’accident de laboratoire —, et elle n’influe en rien sur la politique mise en œuvre pour combattre le virus qui, elle, suscite maintes interrogations sur l’état mental de nos dirigeants et sur leur réelle aspiration au bien public.
Admettons qu’en mars dernier, dans un élan de panique, Macron ait décidé de déclarer la guerre au virus en recourant à une méthode moyenâgeuse, le confinement généralisé, au lieu de prendre soin des personnes à risque et de laisser vivre et travailler la grande majorité de la population peu concernée par une maladie à faible mortalité, le plus souvent asymptomatique ou bénigne et relevant de la médecine de ville. Avait-il conscience, en déclenchant cette procédure infernale aux antipodes du progressisme dont il se réclame, de se doter des armes de...