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Être souverainiste quand on a 20 ans...

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J’ai croisé la route de Pierre, après avoir reçu son CV. C'est un garçon discret, originaire de Limours (Essonne). Il a un peu plus de 20 ans, et un sourire engageant. Toujours en forme, il assure que « Ça va » même les matins où il serre les dents… Pierre est devenu un compagnon de route. Je lui ai demandé ce que voulait dire pour lui « être souverainiste quand on a vingt ans ».  Il a décidé de me répondre avec ses mots et son abécédaire. Le voici, il m’a mis les larmes aux yeux, car — même s’il manque quelques lettres — il commence par la lettre A, comme avenir.

Avenir 

Bien souvent, les tenants du libéralisme économique voient dans le souverainisme une peur de l’avenir. Être souverainiste, c’est avant tout être maître chez soi: se donner les moyens de ses ambitions pour construire un avenir durable pour les générations successives. 

Bon sens 

Le souverainisme, c’est avant tout une évidence de bon sens. Il s’agit de reprendre le contrôle face à la multiplication de technostructures hors-sol et de renouer avec notre autonomie selon nos priorités, nos valeurs, nos idéaux. 

Convictions 

Être souverainiste, c’est conserver et affirmer ses propres convictions, et en finir avec la parole confisquée dans un pays où l’abstention demeure le premier parti parmi nous, les jeunes. 

Destin 

Être souverainiste, c’est assurer au pays la maîtrise d’un destin commun. 

Emploi

Être souverainiste, c’est renforcer le tissage industriel et productif du territoire, qui est source d’emplois et d’avenir.

Francophonie

Être souverainiste, c’est être soucieux de la préservation de la francophonie et lui assurer une place essentielle dans le concert des nations.

Gouverner

Être souverainiste, c’est avoir le courage de reprendre le pouvoir pour donner à nos représentants la possibilité de gouverner selon la volonté générale. 

Histoire 

Être...